On pourrait la comparer à un programme informatique implanté en nous dès notre plus jeune âge (vous apprécierez l’humour de ma guidance qui me fait de plus en plus souvent utiliser des analogies avec l’informatique 😊).
Le but de celle-ci est d’annihiler toute conscience propre et de passer notre vie à réaliser des objectifs bien définis avec des croyances bien limitantes qui font loi tant qu’on ne devient pas l’observateur du programme pour pouvoir en sortir.
Un autre de ses buts est de nous maintenir dans un état de dépendance sur tous les plans : personnel, affectif, social et même le domaine de la santé ; et surtout de rester bien sage dans le rang et ne pas sortir du moule sous peine d’être taxé de marginal, d’asocial, d’extrémiste voire de complotiste…
Je m’interroge depuis quelques temps déjà, quel est l’intérêt des fausses croyances répandues ? J’en ai listé quelques une :
-La vie est difficile et il faut en « baver » pour être heureux, il faut être bien sage et bien obéissant si on veut être aimé: merci les dogmes religieux ☹
-Il faut souffrir pour être belle, il faut mettre la même couleur de vernis sur tous les orteils 😊 ou encore à partir d’un certain âge on doit mettre un maillot une pièce !!! Mais au nom de quoi ? de qui ? de quelle règle ?
-Il faut faire des études pour réussir sa vie, d’ailleurs il n’y a qu’à observer le nombre de jeunes titulaires d’un master qui finissent en boulangerie, et entendons-nous bien, je n’ai aucun à priori sur les personnes qui y travaillent, du moment qu’elles sont heureuses dans leur activité, c’est la seule chose qui importe !
-Le bonheur ne s’obtient qu’avec des biens matériels, le dernier smartphone à la mode par exemple, il suffit de regarder toutes les pubs, inévitables même si on ne regarde pas la télé qui sont une source d’envie et de besoins divers et variés…
Développer plus le propos pourrait faire l’objet d’un livre tant il est vaste…
La liste des règles de la matrice est illimitée et pour savoir les débusquer il suffit d’observer notre façon de nous exprimer avec toutes les phrases qui commencent par « je dois » ou « il faut » !!! et si à la place, on mettait « je choisis », en voilà suggestion intéressante…
Cet écrit est une incitation au discernement, à reprendre notre libre arbitre et à choisir de se libérer des conditionnements encore bien souvent inconscients auquel nous sommes soumis.